Magog, ancêtre des Scythes en Russie du sud dans la la région montagneuse les séparant de l’actuel Géorgie, Azerbaïdjan et de l’Arménie deviendra dans la suite des temps les Khazars. Le lien commun est le royaume des Ashkuza ou Ashkénazim second Fils de Gomer et neveu de Magog. Aujourd’hui le royaume des Aschkénazim n’existe plus les Scythes ou les Khazars n’ont plus. Alors on pourrait se demander qui occupe ses terres dont on parle dans la bible . j’ai mené une petite enquète simple et donc peut ëtre non aboutis. Deux peuples m’ont parru bon a être présentés.

Les Turcs Meskhétes/ phonétiquement très proche d’un peuple appelé dans la bible Meschec

Les Turcs meskhètes ( turc : Ahıska Türkleri ) sont un sous-groupe ethnique de Turcs qui habitaient auparavant la région de Meskheti en Géorgie , le long de la frontière avec la Turquie . La présence turque en Meskheti a commencé avec l’ expédition militaire turque de 1578 ,  bien que turcophones tribus se sont installés dans la région dès le XIe et XIIe siècles. 

Aujourd’hui, les Turcs meskhètes sont largement dispersés dans toute l’ ex-Union soviétique (ainsi qu’en Turquie et aux États-Unis ) en raison des déportations forcées pendant la Seconde Guerre mondiale . À l’époque, l’ Union soviétique se préparait à lancer une campagne de pression contre la Turquie et Joseph Staline voulait éliminer la population turque stratégique de Meskheti qui était susceptible d’être hostile aux intentions soviétiques. En 1944, les Turcs meskhètes ont été accusés de contrebande, de banditisme et d’espionnage en collaboration avec leurs proches de l’autre côté de la frontière turque. Expulsés de Joseph Staline de Géorgie en 1944, ils ont été victimes de discrimination et de violations des droits de l’homme avant et après leur expulsion.  Environ 115 000 Turcs meskhètes ont été déportés en Asie centrale et par la suite, seuls quelques centaines ont pu retourner en Géorgie. Ceux qui ont émigré en Ukraine en 1990 se sont installés dans des bidonvilles habités par des travailleurs saisonniers.

Population totale
400 000 à 600 000 
Régions avec des populations importantes
 Géorgie1 500 
 Kazakhstan150 000 à 180 000 
 Azerbaïdjan90 000 à 110 000 
 Russie70 000–95 000 
 Kirghizistan42 000 à 50 000 
 dinde40 000 à 76 000 
 Ouzbékistan15 000 à 38 000 
 Ukraine8 000 à 10000 
 États Unis9 000-16 000 
 Chypre du Nord180 
En Russie
Sur les quelque 50 000 Turcs Meskhètes présents en Russie, tous se sont bien intégrés, sauf les 15 000 Turcs Meskhètes de la région de Krasnodar (Nord Caucase) en but à la surveillance des organisations cosaques. Ils ont finalement pu obtenir l’asile aux États-Unis.
Aux États-Unis
Les 15 000 Turcs Meskhètes de Krasnodar arrivent progressivement dans différents États américains, où leur statut de réfugié leur garantit un niveau de vie décent.

L’origine du Meskhetian est encore inexplorée et très controversée. Mais maintenant, il semble émerger deux directions principales:

  1. La direction pro-turque : les Meskhètes étaient des Turcs de souche, descendants des colons ottomans , dont certains Géorgiens faisaient partie de l’ethnie. 
  2. Le pro-géorgien direction: géorgienne historiographique a toujours soutenu que les Turcs meskhètes, qui parlent le Kars dialecte de la langue turque et appartiennent à la Hanafi école de l’ islam sunnite , sont tout simplement turquifié Meskhètes  convertis à l’ islam en la période entre le XVIe siècle et 1829, lorsque la région de Samtskhe-Javakheti ( Meskheti historique ) était sous la domination de l’ Empire ottoman .

 

Organisations
Il existe de nombreuses associations de Turcs Meskhètes, dont voici les principales :
Vatan (patrie) : association mère, dont la ligne directrice est le retour inconditionnel en Géorgie. Elle prône l’origine turque des Turcs Meskhètes, ce qui déplait à la Géorgie, qui soutient la thèse opposée. Son siège est à Moscou, et possède une filiale très active à Bakou (Azerbaïdjan).
Association des Meskhs rapatriés : dirigée par les enfants du dirigeant historique de la cause Turcs meskhètes L. Baratachvili, cette petite association se veut le défenseur des Turcs Meskhètes déjà présents en Géorgie et le promoteur des droits des Turcs Meskhètes au rapatriement. Elle a fait sienne la thèse de l’origine géorgienne, mais se veut ouverte à tous les Turcs Meskhètes.

Description de l'image Flag of Meskhetian Turks 1.svg.

 

Histoire
La déportation
En septembre 1944, en pleine Seconde Guerre mondialeJoseph Staline et Lavrenti Beria font déporter la totalité des Turcs Meskhètes (environ 100 000) de la région d’Akhaltsiké, d’où le terme les Turcs d’Ahıska, en quelques jours. Il ne s’agissait ni de la première déportation massive, ni de la dernière. Les Turcs Meskhètes, comme les Tchétchènes ou les Tatars de Crimée, et tant d’autres, sont entassés dans des convois à bestiaux puis expédiés vers l’Asie centrale. Le voyage est un traumatisme pour les survivants, qui sont de plus accusés d’être des traîtres à la nation sans explication. La majorité des Turcs Meskhètes sont déportés vers l’Ouzbékistan, et vivent sous le contrôle du NKVD. Parmi les théories cherchant à expliquer la déportation des Turcs Meskhètes, il est généralement admis que Staline avait ainsi « nettoyé » la zone frontalière turco-soviétique d’une potentielle « cinquième colonne » : les Turcs soviétiques n’étaient pas fiables à ses yeux comme ils ont collaboré dans le passé avec les Turcs de la Turquie, une alliée de l’Allemagne lors de la première guerre mondiale.

 

 

Les Tchétchènes, peuple vivant sur l’autre flanc montagneux du Caucase, là ou était installé le royaume des Scythes et des khazars-Ashkénazim

 

Le terme « tchétchène » est cité pour la première fois dans les sources arabes du viiie siècle. Selon la tradition populaire, le terme « tchétchène » vient du nom du village de Chechen-Aul, où les Tchétchènes gagnèrent contre les soldats russes en 1732. Cependant, le mot « tchétchène » revient à plusieurs reprises dans des sources russes dès 1692, il serait dérivé du mot Shashan en kabarde.

La majorité des Tchétchènes se trouve dans la République tchétchène de la fédération de Russie, dans le Nord-Est du Caucase. Des groupes important se trouvent également dans les régions voisines (Ingouchie, Daghestan) ainsi qu’à Moscou.

À l’étranger on trouve des populations tchétchènes en Turquie et au Moyen-Orient (Syrie et Irak), descendants de Tchétchènes qui ont été déportés lors de la guerre du Caucase au xixe siècle, ainsi qu’au Kazakhstan, descendants de Tchétchènes déportés sous Joseph Staline. Dans les années 1990, la guerre de Tchétchénie a poussé certaines familles de civils (dont femmes et enfants) qui étaient menacées par les bombardements russes, à immigrer avec le statut de réfugié en Europe, particulièrement en AllemagneBelgique et en France.

Seconde guerre de Tchétchénie — Wikipédia

 Russie1 431 360
•  Tchétchénie1 206 551
•  Daghestan93 658
•  Ingouchie18 765
•  Oblast de Moscou14 524
•  Kraï de Stavropol11 980
•  Oblast de Rostov11 449
 Union européenne130 000
 Turquie100 000
 Kazakhstan31 974
 Irak11 000
 Géorgie10 100 (dont les Kistines)
 Jordanie8 000
Population totale2 millions

Les chapeaux Tchétchènes sont très ressemblant avec ceux des Juifs orthodoxe de Russie

 

Description de cette image, également commentée ci-après

Tchétchènes (1886).

Le schtreimel (Yiddish: שטרײַמל, pl. שטרײַמלעך shtreimlech) est un chapeau de fourrure porté par de nombreux Juifs, plus particulièrement — mais pas exclusivement — par des membres de groupes hassidiques, pendant le chabbat, les fêtes religieuses et autres célébrations. Dans certaines familles, plus particulièrement celles de Jérusalem, les garçons ne commencent à porter le schtreimel qu’après leur mariage.

Le schtreimel est un chapeau de véritable fourrure à large bord fait de treize queues, en règle générale, de zibeline canadienne ou russe, parfois de martrefouine ou même de renard gris américain. Ces treize queues sont censées représenter les treize aspects de la miséricorde divine. Le schtreimel est la pièce de l’habillement hassidique la plus chère, son prix pouvant aller de 1 500 € à 4 500 €. Habituellement, le père de la mariée achète le schtreimel du futur époux pour ses noces. Il est désormais coutume d’acheter deux schtreimels. L’un, meilleur marché (environ 600-1 200 €), appelé regen schtreimel (« schtreimel de pluie »), s’emploie quand le schtreimel plus onéreux pourrait être endommagé. On trouve des fabricants de schtreimels à Montréal, en Israël et à New York.

Ce chapeau à large bord entouré de zibeline, que l’on trouvait jadis chez les Tatars était initialement une adaptation à l’hiver continental d’Europe orientale, protégeant du soleil éclatant et de la neige, avant de devenir un élément identitaire des Hassidim, à côté du spodik porté surtout par les Gerrer de PologneLituanie et Biélorussie.

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